les métiers de marins

ont de l'avenir !

Mon métier : faire travailler le navire en veillant à la sécurité de tous. En mer, je fais le quart et la navigation. En opération, je m’occupe aussi du positionnement dynamique. A quai, j’assure le service général et le suivi des opérations commerciales. Et en permanence, je dois me maintenir prête à faire face à tout type d’urgence. Des tâches diversifiées, des responsabilités, pour un métier qui me passionne chaque jour !

Claire-Lise PLET-PERNET, Lieutenante chez Louis Dreyfus Armateurs

Cet embarquement a été pour moi le premier et il a dépassé toutes mes espérances. J’ai pu observer et surtout faire moi-même : en passerelle, à la machine ou sur le pont, ce qui m’a permis de comprendre tous les aspects des différents métiers à bord ainsi que le fonctionnement général du navire. Cette expérience a vraiment renforcé mon envie et ma motivation.

Mattia MOREIRA, élève stagiaire sur le navire océanographique Atalante (GENAVIR)

Sur les SOV, la technologie est à la pointe : le gangway, la grue 3D pour compenser les mouvements verticaux et horizontaux du navire, le dispositif de positionnement dynamique, la propulsion hybride avec batteries... tout est du dernier cri. C’est sympa de travailler sur ce genre de navire et très formateur.

Sébastien LE ROHELLEC, commandant du SOV Wind of Hope, navire de service pour l’éolien en mer, Louis Dreyfus Armateurs

Au service machine, l'esprit d'équipe règne en maître : une équipe resserrée et de l’entraide. En tant que chef mécanicien, je supervise le service machine pour fournir à la demande du capitaine la bonne vitesse et la bonne puissance nécessaires. Nous en tirons une certaine fierté, sur un navire propulsé au GNL (Gaz Naturel Liquéfié) avec de nombreuses innovations technologiques.

Jean-Pierre MENARD, chef mécanicien embarqué sur le porte-conteneurs « Champs-Elysées » CMA CGM

C’est un environnement de travail très atypique, dans des milieux extrêmes en Norvège et en Arctique. En tant que cuisinière, je gère tout le secteur Restauration. Je suis aussi à l’écoute des passagers, tout en anticipant les aléas de la navigation. J’aime l’autonomie que ce métier procure, loin de la routine. La cuisine sur un navire, c'est le baromètre du bateau, pour l'équipage et pour les passagers.

Sabine FRANCESE, cuisinière embarquée (expédition polaire sur le Polaris)

Après 9 ans comme mécanicien dans la marine nationale puis dans la marine marchande, je suis passé au pont et depuis je continue à me former pour aujourd’hui être Bosco… et bientôt lieutenant ! Pas de routine : mise à l’eau de ROV, mise en place d'ancrages, amarrage… Avec beaucoup d’avantages : la diversité des missions, l’esprit d’équipe sur le pont, les voyages partout en Europe…

David CHARNEAU, Bosco (maître d’équipage) pour Jifmar Offshore Services